Jeune journaliste, Martin a déjà accumulé une grande expérience professionnelle. Après deux ans d’activité via SMartBe, c’est en tant que freelance aguerri qu’il a décidé de donner plus d’ampleur à son projet en se faisant accompagner par JobYourself. Après ses études, ce touche à tout rédactionnel a très vite compris que le système de pigiste semblait le mieux pour se lancer dans le métier mais qu’il fallait ajouter d’autres cartes à son jeu. La coopérative d’activités paraissait la manière la plus sûre de le faire. Il a trouvé chez JYB le tremplin qu’il cherchait pour prendre son envol. Proche de la fin de son test, sa sortie s’annonce positive. Il revient sur son parcours chez JYB.
Décrivez-nous votre projet
Journaliste de formation, mon projet de communication « MartyMedia » propose des services b to b de journalisme, de relations presse, de copywriting et de community management, tous supports media confondus (web, radio, TV, presse écrite).
Comment avez-vous vécu la période de préparation de projet ?
J’avais une idée claire de ce à quoi devait ressembler le projet car j’exerçais déjà comme journaliste indépendant en facturant via SMartBe. J’avais donc déjà quelques clients. J’ai utilisé pleinement les six mois de cette phase pour aller plus loin et voir comment donner forme aux activités de copywriter et de community manager, réfléchir aux tarifs, à la démarche client, etc. Grâce à JYB, je suis passé à l’échelon supérieur. Avec Smart je serais resté plus petit. Cette phase m’a aussi laissé le temps de créer mes outils de communication et d’activer du réseau.
L’aspect coaching est très précieux durant le parcours chez JYB. Avoir une personne unique de référence aide au processus de décision, à se sentir moins isolé et moins perdu quand on reçoit une foule de conseils parfois contradictoires. Je reste ouvert à d’autres avis mais ma coach, en tant que personne neutre, avec son expérience, son regard extérieur et professionnel m’aide à trancher. Et puis, le fait que la coach ne soit pas du secteur amène une richesse. Je préfère avoir des solutions inédites, des approches différentes, des idées « out of the box ».
Comment avez-vous appréhendé le test d’activité ?
Il ne s’agissait pas vraiment d’un grand saut car le processus était déjà en cours avant via SMartBe. Il s’agissait donc simplement d’utiliser une nouvelle manière de facturer. Mais la réflexion a dû se faire assez vite pour voir comment gonfler ce chiffre de facturation. Le système JYB va beaucoup plus loin que cet aspect-là de l’activité. Le parcours est formateur à tous les niveaux : gestion des temps forts, des temps faibles, comptabilité, aspects administratifs. On apprend vraiment à devenir un entrepreneur, à appréhender cette réalité. Encadré, on se sent plus fort. JYB nous arme.
Après une très belle année déjà passée, j’arrive maintenant en fin de phase test. Mi-avril, j’espère arriver au bout des 18 mois avec l’objectif fixé pour une sortie positive. Je suis assez content et confiant. Il y a des hauts et des bas bien sûr mais ça fait partie intégrante de la vie d’un indépendant.
Quelles sont vos priorités du moment ?
Il y a eu un moment de creux puis ça s’est débloqué très fort. Je suis toujours dans cette dynamique de croissance. Ma priorité est donc de faire en sorte que cette croissance continue jusqu’à la fin et surtout après la fin.
Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui n’oseraient pas se lancer ?
Via un de mes clients j’ai un dossier entrepreneuriat, je rencontre donc des tas d’entrepreneurs, gros comme petits, et cette question revient tout le temps ! Je dirais qu’il y a beaucoup moins de raisons d’avoir peur qu’avant. Il y a de plus en plus de structures d’aide à l’entrepreneuriat. Maintenant l’entrepreneur n’est plus tout seul, il peut s’entourer. Ce n’est plus une traversée du désert, le nez dans le guidon, mais de la collaboration avec plein d’autres intervenants.
Et puis l’entrepreneuriat paraît l’avenir. Les petites structures dynamiques, avec le web comme outil, deviennent très performantes, très réactives et semblent très concurrentielles.
Il y a toujours un risque mais c’est l’une des composantes naturelles de l’entrepreneur et ces risques sont beaucoup plus circonscrits qu’avant.
L’accompagnement de JYB en un mot ou en une phrase ?
Partenariat ! J’ai vécu la relation avec ma coach comme un partenariat. On travaillait véritablement à deux sur mon projet, c’était très agréable.
Pour vous, être entrepreneur c’est… ?
Croire en soi. Les gens qui entreprennent croient en eux.
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