Freelance : comment facturer ses clients ?
Lorsque vous travaillez comme freelance, comment facturer ses clients est une question que l’on se pose rapidement et c’est une thématique que JobYourself connaît bien. En effet, depuis près de 10 ans notre structure offre à ceux qui souhaitent créer leur propre emploi la possibilité de développer et de tester leur projet d’entreprise en Belgique. N’hésitez pas à prendre contact avec nous pour plus d’informations.
Pour pouvoir être reconnu comme il se doit, vous devez faire les choses dans les normes. Vous êtes tout heureux, car vous venez d’avoir votre toute première mission. Pour la satisfaction complète de votre client et pour respecter la loi de votre côté, vous devez réaliser la tarification de votre prestation. C’est un sujet un peu délicat, mais avec les bornes armes, vous réussirez à concevoir aisément votre facture. Le présent article vous donnera des informations clés sur le thème de la facturation de vos clients.
Bien choisir le mode de facturation
Pour facturer vos clients en tant que freelance, vous avez le choix entre plusieurs types de facturations. Par exemple, il y a la facturation au temps passé et la facturation de votre mission de travailleur indépendant au forfait.
Les factures au forfait
Avec le mode forfait, vous êtes capable de facturer votre client à un montant supérieur au temps que le travail vous nécessitera. Ce mode de facturation orientée livrable peut convenir lorsque vous faites souvent les mêmes tâches. Ainsi, vous avez plus de maîtrise et pourrez bien évaluer le temps à consacrer à la réalisation de la tâche à vous assigner. Le calcul se fera ici en multipliant le taux journalier par le nombre d’heures de travail utile. Le risque de ce mode de facture est que si vous prenez du retard et que le projet traîne, vous risquez d’être perdant. Le secret est donc de bien estimer le temps nécessaire à la réalisation du projet avant de proposer votre prix définitif.
Facturer à l’heure ou au temps passé
Pour la facturation au temps passé, vous vendez votre temps de travail. Ici, le freelance peut avertir son client lorsqu’il atteint un seuil de facturation donné pour ne pas le prendre par surprise. C’est pour cela que cette facturation à la durée doit être privilégiée quand vous ne maîtrisez pas tout ce que vous demandera la mission.
Définir son prix et respecter les normes
Lorsque votre mode de facturation est choisi, vous devez aussi vous renseigner sur le tarif du marché pour établir votre tarif ; l’objectif étant de trouver le juste prix. N’oubliez pas de tenir compte des dépenses que vous aurez à faire pour la réalisation de la tâche dans votre facturation. Autrement, cela ne sera pas rentable pour vous.
La facture est un acte juridique qui vous protègera également lors des litiges. Vous devez l’établir à la fin de votre prestation ou à la fin de chaque étape dans l’exécution d’une tâche chronophage. Par ailleurs, vous devez faire figurer sur votre facture les mentions obligatoires. Enfin, votre facture doit suivre le format de votre statut juridique comme freelance et sa numérotation doit être bien chronologique.
Les mentions obligatoires
Pour savoir, en tant que freelance, comment facturer vos clients, vous devez aussi maîtriser ce qui figurera dans la facture. Votre facture doit avoir une date d’émission, un numéro et votre identité. L’identité renvoie à votre nom et prénom si vous êtes seul. Dans le cas d’une société, vous mentionnerez votre dénomination sociale et votre numéro de TVA. Il y figura aussi la date de livraison et la désignation du produit de même que le prix qu’aura à payer le client. Vous y mentionnerez aussi la date de paiement et le taux de pénalité pour tout retard. En outre, mettez-y l’indemnité forfaitaire pour couvrir les frais de recouvrement lorsque le client ne paie pas. Enfin, vous ferez aussi mention de l’assurance.
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